Selfbondage d'une folle en foret

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 10 ans
Une histoire de fille soumise nue et entravée par son Maître dans la forêt m’avait excitée. Après lui avoir menotté les mains et les pieds il lui accordait trente minutes pour le rejoindre sans quoi, il partait à la chasse à l’homme, ou plutôt la femme.

La fille n’étant pas arrivée à le rejoindre dans les temps, il s’était jeté sur elle pour jouer le sadique pervers et la V i o l er. Après leurs petits jeux et grands frissons, ils reprenaient une vie dès plus conventionnelle. Er moi, bien trop timide pour parler de ces jeux à mes amants de passage, je me suis imaginée à la place de cette fille se faisant agresser et défoncer par son mari.

L’idée m’est venue de m’attacher avec mes petits jouets et de me faire un petit plan d’auto bondage avant de m’accorder un petit plaisir solitaire.

Alors que je me tordais sur le lit en imaginant un v i o l eur beau comme un apollon, l’irrépressible envie de tenter une expérience dehors m’est venue. Après m’être libérée et caressée deux fois, en guise d’apollon je me suis abandonnée aux bras de Morphée. Au petit matin, réveillée par le chien de mon abruti de voisin, je n’ai pu retrouver le sommeil et comme quand je ne dors pas je pense, l’envie de tenter l’aventure en extérieur m’est revenue. Je me suis donc levée pour préparer mes jouets et accessoires et rien que de préparer mon sac, …. Hummm.

J’ai donc pris mes cadenas, une chaine, mes menottes, mon plug vibrant et quelques bricoles comme des pinces et cordes. Le sac jeté dans la voiture, j’ai pris la direction de la forêt située à 15 kilomètres de la maison. Pour ne pas prendre le risque d’être surprise par des marcheurs, j’ai choisi la partie la plus dense et la plus éloignée des chemins. Les clés des cadenas et des menottes rangées dans une boite en plastique au pied d’un arbre avec des feuilles dessus pour la cacher, je suis donc repartie avec mon sac en me traitant de folle et convaincue que je n’oserai pas aller jusqu’au bout. 200 mètres environs, c’est peu mais c’est aussi beaucoup…..

La jupe et ma culotte aux chevilles, mon plug vibrant a trouvé sa place très facilement tant j’étais mouillée et pour le faire tenir, je me suis faite un petit string de corde. Le plug en marche généra en moi une contraction pré orgasmique me donnant des ailes ce qui m’a faite disjoncter un peu plus et retirer mon chemisier et mon soutif. J’ai coincé les menottes dans mon dos avant d’entraver mes chevilles avec la chaine et les cadenas en m’accordant un peu de jeu pour pouvoir marcher à petits pas.

Excitée comme j’étais, la pose des pinces à linge sur mes seins fut une agréable formalité….. Et là, en m’étonnant moi-même de mon courage j’ai fermé les menottes sur mes poignets. C’est au deuxième clic que je me suis traitée de folle dingue mais il était trop tard pour reculer. A petits pas et sans tarder, j’ai donc entrepris les 200 mètres en constatant que je n’avais pas laissé assez de jeux à mes chevilles pour franchir les grosses racines sans prendre le risque de chuter. Sauter la première fut une formalité pour mes jambes contrairement à mes tétons n’appréciant pas les mouvements des pinces générés par le saut. Il m’a fallut au moins 10 minutes et quelques cruelles douleurs aux tétons pour parcourir les 200 mètres.

Ma libération a commencé par une chute quand je me suis baissée pour attr a p e r la boite. Vautrée dans les feuilles et les bouts de branches, je me suis évertuée à ouvrir la boite pour sortir les clés. Je ne sais si c’est l’inquiétude mais pour ouvrir les menottes j’ai du batailler un bon moment. Quand enfin j’y suis parvenue, je ne mouillais pas qu’en bas, mon front et ma tête étaient aussi mouillés que si je sortais de la douche. J’exagère un peu, mais il y a de l’idée. Il y a des bruits dans la forêt et quand on est une fille seule et à poil, ils font peur. Par 10 fois, au moins j’ai cru qu’il y avait quelqu’un, je ne vous dis pas l’angoisse….

De fait, les chevilles à peine libérées, c’est presque au pas de course que j’ai parcourus les 200 mètres me séparant de mes vêtements. Retirer les pinces de mes seins et courir avec un gros plug dans la chatte n’est pas génial, ce n’est pas un bel apollon qui m’a V i o l é mais un gros bout de caoutchouc.

Elles étaient là, mes fringues m’attendaient sagement d’un air de dite « t’es givrée » mais je leur ai pardonné ce regard inquisiteur du moment qu’elles masquaient mon corps. Et là, couchée sur le sol, jambes écartées comme une grosse salope que je suis, (et fière de l’être) je me suis astiquée le clito comme une demeurée en manque. La jouissance est venue comme un raz-de-marée. Elle fut titanesque, la tête dans les feuilles j’ai cru que j’allais imploser. Epuisée et allongée sur le sol je savourais l’instant magique les yeux fermés quand j’ai entendu des craquements. Un lièvre est passé comme un fou à quelques mètres de moi.

La peur que j’ai eue m’a tout coupé mais je garde un souvenir impérissable de cette expérience.

Marine

QUELQUES LIENS

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Une suite s'impose, La forêt est remplie de caméras qui se déclenchent au mouvement pour étudier les animaux. La personne qui les relève a tout enregistré, y compris la plaque d'immatriculation de la voiture. On doit pouvoir retrouver nom et adresse...
belle histoire, j'adore
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